La charge mentale du diabète : un fardeau énorme !
Coco_and_podie, un compte Instagram, nous partage son vécu afin de mieux comprendre la réalité du diabète de type 1. Cette maladie chronique et auto-immune demande une vigilance constante. Voici son témoignage vidéo et sa transcription ci-dessous.
Signe d’espoir : vivre avec le diabète de type 1
Comprendre la différence entre les types de diabète
Le compte Instagram de Coralie – @coco_and_podie – est rempli de photos d’une jeune femme vive et souriante. Cependant, derrière ce visage radieux se cache une réalité moins visible : Coralie souffre d’une maladie incurable, le diabète de type 1. Cette maladie auto-immune affecte le pancréas, l’organe responsable de la production d’insuline, une hormone vitale pour réguler le taux de sucre dans le sang. Contrairement au diabète de type 2 qui nécessite des traitements médicamenteux pour stimuler la production d’insuline, le diabète de type 1 entraîne une incapacité complète à produire naturellement cette hormone. Coralie nous a fait part de son témoignage pour mieux comprendre les difficultés auxquelles les personnes atteintes de cette maladie sont confrontées au quotidien.
Les contraintes du diabète de type 1
Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui entraîne une attaque du propre corps contre la capacité du pancréas à produire de l’insuline. Même en s’injectant de l’insuline régulièrement, Coralie doit constamment surveiller ses taux de sucre dans le sang. La vigilance vis-à-vis du diabète est nécessaire à tout moment de la journée, que ce soit pendant le sommeil, le travail, les soirées ou les moments intimes. En d’autres termes, cela ne s’arrête jamais. Malheureusement, le diabète de type 1 ne peut pas être guéri pour le moment et reste une maladie chronique incurable.
Les défis psychologiques et les solutions trouvées
Vivre avec le diabète de type 1 peut souvent être une expérience solitaire. Même si Coralie semble en bonne santé, elle a des limites invisibles, comme une fatigue chronique ou la nécessité de s’arrêter en cas d’hypoglycémie et de gérer les effets de l’hyperglycémie. Pour faire face à ces défis psychologiques, les réseaux sociaux et les nouvelles associations ont joué un rôle important. Ces plateformes ont permis à Coralie de rencontrer d’autres personnes qui vivent la même réalité qu’elle et de se connecter avec elles. Cette expérience lui a permis de reprendre le contrôle de sa maladie, qu’elle avait abandonnée pendant son adolescence, en se sentant enfin comprise et soutenue.